Nostalgia da Cidade

Há dias assim, em que a gente acorda e sente que lhe falta qualquer coisa para ficar bem.
Hoje, terça-feira, acordei triste. Liguei o computador e para não ouvir na Televisão sempre mais notícias da Gripe Voadora, selecionei umas músicas para os auscultadores e então... a tristeza transformou-se em nostalgia.
Apercebi-me de uma saudade imensa da minha Cidade, Lisboa, porque o Charles Aznavour cantava assim:

Ma ville en bord de mer tu t'accroches à mes basques
Quand je dois m'en aller vers d'autres horizons
J'ai, en ta compagnie, fait un peu trop de frasques
Le moment est venu de payer l'addition.
Terre de mes amours de jeunesse immature
A vingt ans je croyais que tout m'était permis
Je ne fus pas toujours blanc bleu en aventures
Quand on est jeune et fou, on veut brûler ses nuits.

Lisboa je pars
Sans but, au loin et au hasard
De port en port, de gare en gare
Pour effacer les cris stridents de ma mémoire
Et tenter un nouveau départ
Je pars.

Lisboa je fuis
Vers l'incertain, vers l'infini
Vers des ailleurs chercher l'oubli
Comme un fuyard traqué, comme un proscrit.
J'ai gâché l'amour et détruit
Ma vie.

...e continua, mas já chega para chatear alguns dos nossos amigos que não gramam Le Français e detestam La Chançon Française.